La vie totalement excitante de Meaghan à New York

Dans ma poche, une vibration me sortit de ma contemplation envers une magnifique robe Gucchi. Mon blackberry rouge que je m'étais offert en tout premier avec l'argent que j'avais gagné à la première réedition de mon livre.
C'était Cathy, ma chef marquetting. Elle était constamment sur le qui-vive et stressait à la moindre seconde de retard, je me doutais bien qu'elle m'insultait dans mon dos lorsque je ne répondait pas à ses appels à la première sonnerie.

-Allô ? Meg Turner à l'appareil ?
-Meg, c'est Cathy, t'es où là ? On décide de la couverture pour la prochaine réédition de "l'amitié dengereuse de Lydia et John", TON livre si je me souviens bien, t'étais cesée venir. Je t'ai envoyé un texto !
-Je ne l'ai pas reçu, plaidai-je.
-Ne cherche pas à te justifier, dis moi où tu es je t'envoie un taxi !
-Pas la peine Cathy, je suis à deux pas j'arrive.
-Ne traîne pas !
-Non, ne t'inquiète pas.

J'ai raccroché et repris ma contemplation de la robe. Cathy pouvait bien attendre, j'étais sûre qu'aucun des graphistes n'avaient du encore arriver.
Je suis entrée dans la boutique et fit le tour du magasin en jaugeant la tête de la vendeuse. Avant, j'aurais été recalée à l'entrée à cause de ma paleur, de mes cernes et de mon look ado perdue.
Ce que j'ai été, il faut le reconnaître.
Maintenant, j'arborais une coupe chic et un chignon serré, un tailleur Channel qui aurait plu à Ava et des chaussures qui elles, auraient plus à ma mère.
Je regardais une écharpe de soie qui me rapellait tristement celle que j'avais vue une fois dans les tiroirs d'Ava.
Mon téléphone vibra dans mes mains, un texto.

"Je te vois, sort de cette boutique, IMEDIATEMNT !, ta chère Cathy."

Je soupirai pris l'écharpe de son étagère, elle coutait 120 dollars, le prix d'un cahier pour quelque de normal quand on a mon argent.
J'ai marché jusqu'au bâtiment qu'occupait Cathy et j'ai pris l'ascensueur après avoir montré ma carte pour la formalité au vigile. Il me voyait tous les jours et il devait avoir une femme ou une fille qui lisait mon livre.
A peine les portes de l'ascenseurs ouvertes, Cathy montée sur une paire d'échassier rose m'a attrapée et m'a trainée jusqu' à mon bureau.

-Installe toi je t'en pris, m'a t-elle fait d'une voix mielleuse, on a encore vingt minutes avant que le directeur artistique et ses assistants arrivent.

Qu'est ce que je disais à propos d'elle déjà ?

-Ils proposent une toute nouvelle couverture mais comme tu n'as pas voulu changé de couverture depuis la première édition je me demande si c'est pas un peu débile de te le redemander !
-Si tu connais ma réponse pourquoi tu me demandes ?
-On ne sait jamais, un éclair lumineux pourrais te rendre le génie que tu as eu lors de l'écriture de ton bouquin !

Si elle ne m'avait pas soutenue depuis le début, je jure que je pourrais la baffer certaines fois. J'ai soupiré profondément, elle a comprit le message heureusement. Je me suis levée et je me suis empressée de ranger mes affaires et d'aller chercher un café tandis que mon ordinateur s'allumait. Comme pour la couverture, mes agents n'avaient pas compris qu'il n'y aurait pas de numéro deux. Mais tant qu'il me voyait à mon ordinateur et faire semblant de m'interresser aux nouvelles par rapport à mon livre ils me laissaient tranquilles faire ce que je voulais tandis qu'une chèque de 80000 dollars était versé sur mon compte chaques semaines. S'ajoutait à ça, les 25000 euros que me rapportaient mes actions que j'avais placé dans l'entreprises de viticulteur de mon père en France.
A la fin du mois, je pouvais aller dans des restos où la salade était à 150 dollars et m'acheter des robes qu'abritait la cinquième avenue.

Quand j'avais du temps, j'allais sur google earth et j'essayais de forcer l'image de me montrer Forks. Mais sans résultat.
J'avais regretté d'avoir écouté Meryl me trainer en Frane, mais après j'avais écrit, et reverser mes peurs les plus profondes dans mon récit et ainsi je m'en étais totalement débarrasser tandis que des millions de lecteurs s'impregnaient de la sensation que l'on ressent quand on est coincé dans une voiture avec un vampire joueur qui à l'intention de vous manger quoi qu'il arrive.
J'ai regardé ma boite mail et vit trois messages au nom de Peter.
" Trop bien la soirée en ta compagnie hier soir, Pete."
Même pas capable de faire la diférence entre un rencart et une activité professionel.
Quand je recevais des messages de garçons, je ne pouvais pas m'empecher de repenser à Elijah qui n'était même pas venu me dire en revoir.

Ma vie était plus calme, mais remplie de mélancolie collante.

(from --> Alaska)

Je n'avais eu à retenir ma respiration autant. C'était bien la première fois que je me promenais dans une foule aussi peuplée.
New York était une vraie fourmilière humaine. Les gens marchaient l'air le plus occupé du monde, sans penser à quelque chose d'autre que leur propre petite personne.

J'avais arrêté un homme d'environ une quarantaines d'années, il m'avait lancé un regard noir l'air d'un chien enragé. Comme si je lui avais fait perdre quelques secondes qui le rapprochait de sa mort prochaine. EN regardant ma main posée sur son épaule il avait ensuite un mouvement de recul avant de repartir encore plus pressé qu'avant.
Heureusement que New York était encombré de nuages ce jour-là.
J'avais arrêté une femme, elle m'avait dévisagé de pied en cap avant de se radoucir et d'accepter de me parler.

-Oui mon chou ?
-Excusez moi, vous savez où se trouve l'immeuble où il y a la maison d'édition de Meaghan Turner.
-Ces jeunes alors ! En ce moment vous n'avez que ce nom en tête !

Je lui ai vaguement souri en guise d'excuse.

-Laisse moi réflechir. Si je ne me trompe pas, il dans l'Upper East Side, je crois qu'il est à l'intersection de Madison avenue et la 73e. Le mieux c'est que tu prennes un taxi.
-Merci.
-Mais attend, je suis agente de casting pour les défilés, je travaille d'ailleurs actuellement sur l'un deux et tu ferais parfaitement l'affaire !
-Merci, mais je travaille déjà ailleurs.
-Tu sais qu'avec un visage comme le tien, tu te ferais rapidement un nom, et tu n'aurais plus besoin d'un job minable.
-C'est un travail à plei temps malheureusement.
-Mais je peux t'aider à t'en débarasser, si tu veux.
-Non merci vraiment.

Je devinais sans peine ses pensées, nom de Dieu elle avait le double de mon âge humain ! Je me servis donc de mon don pour la repousser. L'instant d'après, elle cligna des yeux, ébahies l'air de se demander pourquoi elle parlait avec moi et reprit son chemin.
La première fois que j'avais utilisé mon don, c'était sur Lilou et Meaghan, ca me brisait complètement le coeur d'y repenser.

J'ai suivi son conseil, et j'ai pris un taxi, j'en ai eu pour 20 minutes, 13 dollars et quarante cents.
Les rues étaient tellement encombrées que je me suis senti mal pour les hommes et les femmes qui semblaient faire des infarctus à chaques fois que le feu pour pieton passait au rouge.
Le bâtiment était gargantuesque, il était aussi protégé par une armada de vigiles et de caméra de surveillance.
Je me demandias comment j'allais rentré là-dedans sans déclancher d'alarme quand je me suis rappelé la remarque de Jenny.

J'ai fait mine d'avancer vers les ascenseurs quand un gorille m'a arrêté d'un oeil mauvais.

-Vous êtes qui et vous allez où comme ça ?
-Je m'apelle Jack Sawcha, je viens réclamer un droit de copyright à Mademoiselle Meaghan Turner

Le gorille m'a regardé d'un oeil surpris.

-Et pour qu'elle raison je vous pris ?
-Elle a utilisé mon apparence pour une description dans son livre, depuis ma vie est un enfer !
-Je vois, je vais appeler son bureau.

Ce qu'il fit. Une voix féminine brutale qui n'était pas du tout celle de Meaghan se fit entendre.

-Quoi ? aboya t-elle.
-Je suis désolée Mlle Jewel, mais un jeune homme est ici pour récupérer de l'argent.
-Comment ça ? On lui doit quelque chose ? NAn ! A tous les coups c'est un agent artistique !
-Vous êtes un des agents artistiques ? m'a demandé le vigile.
-Non, je viens juste pour la description.
-Non, Mlle Jewel, il est là parce que Mlle Turner l'a décrit pour illustrer un de ses personnages, et cela embête ce jeune homme. Je le fait monter ?
-Ouais !

Il a raccroché en maugréant des paroles.

-Vous pouvez passer, mais faite gaffe à Cathy Jewel, une vraie teigne cette file !
-Merci, j'y veillerais.
-Elle vous attendra sûrement devant les portes de l'ascenseur.
-Bonne journée !

Il avait raison, quand les portes se sont ouvertes, une jeune femme surelevée par quinze bon cenitmètres de talons m'a dévisagé froidement.

-C'est vous ?
-Je vous demande pardon.
-Celui qui vient réclamer de l'argent.
-Ah oui ! En fait, si je peux demander à l'auteure pourquoi elle m'a utilisée, je ne réclamerais pas d'argent.
-Mademoiselle Turner est en réunion, mais vous pouvez sûrement intervenir.

Elle avait un sourire perfide au coin des lèvres, je me demandais si elle ne voulait pas faire exprès d'embeter Meaghan.
Mais pas du tout.
Elle a poussé la porte de verre et quand tous les visages se sont tournés vers elle, elle a fait un énorme sourire en disant.

-Regarde Meaghan, et vous aussi. Est ce que ce jeune homme ne serait-il pas parfait pour la couverture ? Après tout, c'est bien lui que tu as décrit non ?

Comme l'avait dit Cathy, la réunion commença vingt minutes plus tard. Les agents artistiques étaient les même que la dernière fois, une bande d'hommes habillés des derniers prêts à porter des défilés datant de la semaine précedente. Une bande de fshion victime, mignons et doués.
Cathy avait du oublier de leur rapeller que ma couverture ne changerait pas de couleur ou de formes.
Mais entetés comme ils étaient, ils m'avaient tout de même approtés plusieurs démos de couverture.

Cathy souriait à chaque propositions en le faisant des clins d'oeil, mais à chaque fois je secouais la tête. À chaque refus, elle serrait de plus en plus les lèvres. Elle semblait totalement en colère lorsque l'accueil lui demanda quelque chose.
Elle fit un sourire complètement faux aux agents pouis alla dans le couloir, on l'entendait et on la voyait parfaitement à cause des murs de glace qui m'avaient malheureusement causés pas mal de blessures et de bosses.
On l'entendait à travers.

-Quoi ? aboya t-elle. Comment ça ? On lui doit quelque chose ? NAn ! A tous les coups c'est un agent artistique ! Non, je viens juste pour la description. Ouais !

Elle a entrouvert la porte et avec un sourire encore plus faux que le précédent elle nous a dit :

-Je m'excuse mais j'ai une petite affaire à régler.

Un des garçon a hoché la tête et a posé une nouvelle démo devant moi et m'a dit :

-Non, Meg, avant de dire non, tu regardes complètement.

J'ai souri et j'ai regardé, c'était une version différente de celles qui m'avait été proposée pour la deuxième édition. Le titre au milieu et deux modèles pour représenté deux personnages. Les six garçons étaient penchés sur moi, j'arrivais à sentir leur eaux de toilettes.

-Regarde Meaghan, et vous aussi. Est ce que ce jeune homme ne serait-il pas parfait pour la couverture ? Après tout, c'est bien lui que tu as décrit non ?

J'ai levé les yeux vers elle, elle avait un immense sourire satisfait, j'ai haussé un sourcil puis regardé ce qu'elle avait tant de fierté à exiber.

C'était un garçon, mais pas n'importe lequel, c'était Jack ! J'étais tellement abasourdie de le trouver là que je me suis levé en me cognant sur deux des agents.
Je suis restée scotchée au moins cinq minutes.

-Jack ! me suis-je exclamée en poussant les six gars pour me frayer un chemin vers le vampire.

Je me suis jetée à son cou ! J'y serais bien restée s'il n'avait pas eu une infime mouvement de recul que je compris parfaitemnt.

-Mais qu'est tu fais à New York ? Et tu étais où ces cinq dernières années ?

J'étais tellement contente de retrouver quelqu'un que j'avais connu avant tout ça.
Il n'avait pas changé dutout, ce qui ne m'étonnait pas du tout. Toujours aussi grand ! A moins que ca ne soit moi qui soit toujours aussi petite. Il avait d'immenses poches sous les yeux, et ceux ci étaient délicatement ambrés.

-Ava est avec toi ?

Mais en me rendant compte que je lui demandais de me dire ce qu'il avait de sa vie ces dernieres années devant une assemblée de sept étranger.

-Euh, Cath ? On peut remettre la réunion à plus tard
-Alors là tu ...
-Merci, viens Jack, ai-je fais en l'entraînant hors de la salle de réunion.

Mon bureau me semblait tout d'un coup bien plus approprié.

-Alors, qu'est ce que tu fais ici ?

Il s'est passé un petite bout temps dans ma perception de vampire avant que Meaghan réagisse.
Ses yeux se sont éclairés et elle a bousculé pas mal de gens avant de s'exclamer :

-Jack ! J'étais flatté de tant d'attention, mais quand elle s'est jetée à mon cou et que je n'avais pas mangé depuis pas mal de jour, j'ai du m'empêcher de respirer et elle s'en ai rendu compte en se décrochant de là.
-Mais qu'est tu fais à New York ? Et tu étais où ces cinq dernières années ? Ava est avec toi ?

J'ai jeté un coup d'oeil circulaire aux autres gens de la salle, j'ai remarqué que les fréquentations de Meaghan avait complétement changé depuis la dernière fois. Elle qui fréquentait vampire, loups-garous et chasseurs de vampires, elle était là avec des fashions victimes cherchant des vêtements aux même marque que des filles. J'avais retenu un ou deux noms des boutiques qu'Ava visitait quand on allait à Seattle.
Je ne voulais pas trop entrer dans les détails de retrouvailles en compagnie de huits étrangers tombés dans un pot de parfum et Meg s'en ait rendu compte.
Elle s'est tournée vers la dénomée Cathy, celle perchée sur des talons de quinze centimètres.

-Euh, Cath ? On peut remettre la réunion à plus tard.

La tête de la fille a varié d'un sourire enchantée à l'outrance pur et simple. Come qi une telle requête pouvait lui causé un arrêt cardique.

-Alors là tu ..., a t-elle commencé mais Meaghan ne l'a pas laissé finir.
-Merci, viens Jack.Meaghan m'a entraîné dans une autre salle qui semblait être son bureau étant donné qu'elle y prit ses aises.

-Alors, qu'est ce que tu fais ici ?

J'ai posé mon sac à côté du siège en face du bureau de Meaghan et bien que je n'en ai pas besoin, je me suis assis sur le fauteil et j'ai passé la main dans mes cheveux.

-Et bien c'est assez compliqué, jusqu'à hier, j'étais au fin fond de l'Alaska. En fait, je connaissais une jeune fille là-bas, elle a acheté ton livre.
Mais tu dois deviner que ce n'est pas pour te féliciter que je suis venu mais pour t'avertir que tu risques d'être en danger. À cause des v-a-m-p-i-r-e-s, d'Italie.

Je me suis bien installé dans le fauteil et j'ai continué :

-Je n'ai pas eu de nouvelles d'Ava ou de ma famille adoptives depuis mon départ de Forks. J'esperais que tu m'aurais dit que tu l'avais vu étant donné que le hall posséde sa flagrance. Ca veut dire qu'elle est passé par là. Mais toi, comment ca se fait que tu es passé de l'ado traumatisée à la femme d'affaire super sûre d'elle ?

-Et bien c'est assez compliqué, jusqu'à hier, j'étais au fin fond de l'Alaska. En fait, je connaissais une jeune fille là-bas,

J'ai souris, aucunes filles ne pouvaient pas résister à Jack, mais pire encore, ce n'était pas Lilou, sinon il aurait dit avec LIlou alors que là il avait dit qu'il l'a connu. Oh j'aurais tellement aimé avoir des nouvelles de mes deux amies par la bouche de Jack.

-Elle a acheté ton livre, a ajouté Jack.

J'ai souris humblement et hochant de la tête, tous les jeunes gens que je rencontrais me confiaient qu'ils connassaient quelqu'un qui l'avait lu ou eux même l'avaient lus, donc, c'était sans surprise à présent.

-Mais tu dois deviner que ce n'est pas pour te féliciter que je suis venu mais pour t'avertir que tu risques d'être en danger. À cause des v-a-m-p-i-r-e-s, d'Italie.

Ah les vampires, depuis que j'avais écris mon livre, ma famille m'avait mi en garde contre les vampires, mais je les attendais toujours ceux là !
Jack s'est installé correctement dans son siège, bien qu'il ne devait pas en avoir besoin. Le voir était jouissif et rageant. Il était certes d'une beauté horrible mais il ne prendrait pas une seule ride tandis que nous pauvres mortels vieillirons et mourrons moches et vieux. C'était injuste.

-Je n'ai pas eu de nouvelles d'Ava ou de ma famille adoptives depuis mon départ de Forks. J'esperais que tu m'aurais dit que tu l'avais vu étant donné que le hall posséde sa flagrance. Ca veut dire qu'elle est passé par là. Mais toi, comment ca se fait que tu es passé de l'ado traumatisée à la femme d'affaire super sûre d'elle ?

-Hé bien quand je suis parie de Forks pour aller en France, je me suis rendue compte que j'arrivais à écrire facilement et mieux encore : plus je retranscrivais mes cauchemards sur papier et plus vite ils disparraissaient.

J'ai souris et j'ai bu une gorgée de café avant de continuer.

-J'ai fais lire mon manuscrit à mon père et à Meryl. Et cette dernière après s'être mariée elle a du avoir une bouffée d'attention l'a envoyé une maison d'édition. Je ne t'avais pas dit qu'elle s'était mariée ? Avec un chasseur de vampires, qui l'eut cru c'était celui qu'elle avait repoussé.

J'ai allumé mon ordinateur et j'ai continué de dire à Jack :

-Maintenant que tu as vu que j'étais encore vivante, quelle est la vraie raison à ta présence ici. Et si tu me dis que c'est pour te lançer dans le mannequinat à New York, je ne te croirais pas.

-Hé bien quand je suis partie de Forks pour aller en France, je me suis rendue compte que j'arrivais à écrire facilement et mieux encore : plus je retranscrivais mes cauchemards sur papier et plus vite ils disparraissaient.

Meaghan semblait absolument très fière d'elle car elle a sourit avec satisfaction et elle a avalé une gorgée de café.

-J'ai fais lire mon manuscrit à mon père et à Meryl. Et cette dernière après s'être mariée elle a du avoir une bouffée d'attention l'a envoyé une maison d'édition. Je ne t'avais pas dit qu'elle s'était mariée ? Avec un chasseur de vampires, qui l'eut cru c'était celui qu'elle avait repoussé.

J'ai haussé un sourcil avec un sourire aux lèvres. Meryl ? Mariée ? A ce certain Roman dont elle bassinait le prétendant de Lilou. Cette récente pensée m'assombrit soudainement.

-Maintenant que tu as vu que j'étais encore vivante, quelle est la vraie raison à ta présence ici. Et si tu me dis que c'est pour te lançer dans le mannequinat à New York, je ne te croirais pas.

J'ai éclaté de rire franchement en me souvenant de l'événement de tout à l'heure.

-Et bien figure toi que ca n'a pas failli manquer, je me suis fait abordée par une femme qui dirigeait un casting pour un défilé je crois. Elle avait des lunettes et des cheveu coupé courts roux.
Enfin bref.

Je me suis passé une main dans les cheveux avant de me lancer dans ce pourquoi j'étais réellement là.

-Ok, Meg, j'avoue, en réalité je suis là pour que tu m'accompagnes à Forks.

Devant sa mine outrée je me suis dépeché de continuer avant qu'elle râle.

-Je veux y retourner parce que je veux avoir des nouvelles des autres. Je suis persuadé qu' Ava était ici pour veiller à ta sécurité puis qu'elle a filé à Forks. Et j'ai comme qui dirait dans l'idée que les autres sont toujours à Forks. Je suis là parce que j'ai un problème, je ne veux pas y retourner seul au cas où quelque chose tournerait plutôt mal.

Je l'ai fixé droit dans les yeux en y mettant volontairement tout mon coeur pour qu'elle comprenne que j'avais besoin de sa présence à mes côtés pour retourner voir Lilou. Je ne me sentais pas d'aller affronter la vie en face tout seul. Si jamais Lilou avait refait sa vie avec quelqu'un d'autre, si elle m'avait oublié ... C'était inconcevable que j'affronte ca seul. Au moins avec Meaghan, si Lilou refusait ma présence, elle n'aurait plus rien à faire là bas et repartirait avec moi.
Je me suis approché de Meaghan et j'ai pris sa main chaude de vie dans la mienne en lui faisant un regard de chien battu pour la distraire du fait que je me servais de mon don contre elle.

-S'il te plait Meaghan, ai-je susurré. Je t'en supplie.

Instinctivement, j'ai senti un regard braqué sur nous, cette Cathy nous observait à travers la porte de verre. J'ai soupiré.

-Mais si tu ne veux vraiment pas.

-Et bien figure toi que ca n'a pas failli manquer, je me suis fait abordée par une femme qui dirigeait un casting pour un défilé je crois. Elle avait des lunettes et des cheveu coupé courts roux.
Enfin bref.

J'ai éclaté de rire en imaginant sans peine la scène qui avait du se produire à de nombreuses reprises dès lors que Jack avait du mettre un pied à New York. Il était tombé sur Madeleine Smith, la plus grande directrice de casting de New York. Elle dirigeait les mannequins qui apparaissaient dans Vogue.

-Ok, Meg, j'avoue, en réalité je suis là pour que tu m'accompagnes à Forks.

J'ai arrêté de rire net et je l'ai regardé droit dans les yeux pour voir s'il était sérieux ou s'il se fichait de moi.

-Je veux y retourner parce que je veux avoir des nouvelles des autres. Je
suis persuadé qu' Ava était ici pour veiller à ta sécurité puis qu'elle a filé à Forks. Et j'ai comme qui dirait dans l'idée que les autres sont toujours à Forks. Je suis là parce que j'ai un problème, je ne veux pas y retourner seul au cas où quelque chose tournerait plutôt mal

J'ai croisé les bras avec un sourire narquois, Jack le vampire me demandait de l'aider a affronter une fille, humaine de surcroit. J'aurais aimé avoir une caméra à ce moment là.
Le vampire m'a fixé droit dans les yeux, en me faisant un regard de chien battu. Puis il m'a pris la main, la sienne, gelée m'a surprise avant de me souvenir de sa nature, puis, je me suis sentie irremediablement attirée par lui comme si je pouvais mourrir si je ne l'aidais pas à réaliser son souhait. J'avais déjà ressenti ça et s'était quand je l'avais rencontré

-S'il te plait Meaghan, a t-il murmuré Je t'en supplie.

Il m'a regardé intensement, ses yeux ambrés pétillants, semblaient vouloir sonder mon esprit, je me suis entie hypnotisée par son regard. Jack a légerement detourné son regard vers la porte puis il a soupiré en lachant ma main.

-Mais si tu ne veux vraiment pas.

J'ai senti mon coeur se briser en entendant ça, il me faisait culpabiliser cet ingrat ! J'ai regardé vers ma porte et j'y ai découvert Cathy avec un immense sourire aux lèvres.

-Je géne peut-être ? a t-elle dit sans penser un seul instant à partir.

-Non, Cath', ai-je fais dans sa direction, puis à Jack qui me regardais par dessous j'ai fais, tu me saoule Jack !

Je me suis massé les tempes en pesant le pour et le contre. Je savais que Meryl se touvait à Forks en ce moment, c'était un plus, Elijah y était aussi peut-être, c'était un contre. J'avais été méchante en partant sans lui dire au revoir, et je me voyais mal le revoir après ça. De plus je lui en avais fait voir de toutes les couleurs, même si je ne l'avais pas fait exprès, c'était méchant tout de même.
Et voilà que j'étais comme Jack, incapable de retourner voir une personne qui m'avait été chère.

-Cathy, est ce que ça te dérange si je disparais quelque temps, je pourrai même trouver l'inspiration pour un second livre.

Jack m'a jeté un regard noir, puis en comprenant il a souri.

-Non, c'est tant mieux Meg, tu vas où ? Je t'achète tes billets de transport si tu me jures de me pondre quelque chose sur John et Lydia.

J'ai jeté un regard à Jack, radieux.

-J'aurais du mal à l'éviter, ai je fait en soupirant.

-Je géne peut-être ?

Je sentai bien qu'elle n'avait aucune envie de partir. Je pense qu'elle devait demander ce qu'il y avait entre Meaghan et moi, bien qu'elle ait faux sur toute la ligne. JE la sentais trépignante rien qu'à l'idée de raconter ce qu'elle avait vu à ses amies.

-Non, Cath', a répondu mon amie avant de dire dans mon interet, tu me saoule Jack !

Je lui ai souri humblement pendant qu'elle se masait les tempes, je me suis retourné vers Cathy, elle m'a fait un sourire charmeur auquel j'ai somairement répondu avant de me retourner en soupirant.

-Cathy, est ce que ça te dérange si je disparais quelque temps, je pourrai même trouver l'inspiration pour un second livre.

Même si j'étais heureux de comprendre qu'elle avait l'intention de m'accompagner, à l'idée d'un second livre et d'un double de problème, ma joie s'est un peu envolée et j'ai foudroyé Meaghan du regard. Mais en me rassurant qu'elle viendrait avec moi, je me suis detendu et j'ai souri.

-Non, c'est tant mieux Meg, tu vas où ? Je t'achète tes billets de transport si tu me jures de me pondre quelque chose sur John et Lydia.

Quoi ! ? Il était hors de question qu'elle s'inspire encore de moi pour un nouveau livre, non, non, non ! Elle m'a sourit, radieuse de l'idée et j'ai protester en silence en sachant que sa camarade ne me voyait pas. Meg m'a royalement ignoré.

-J'aurais du mal à l'éviter, a t-elle fait cependant en soupirant.
- Bon ! ai-je en tapant dans mes mains et en me relevant d'un bond, on va pas s'éterniser, j'ai reservé deux places dans l'avion qui part dans une heure, on a le temps de recuperer tes affaires et s'envoler ensuite pour ... tu sais où.

J'ai récupérer son sac sous son bureau et j'ai attrapé tous les objets que je l'avais vu sortir pour les enfourner à l'intérieur, elle a attrapé le reste des objets qui semblaient lui tenir au coeur et elle m'a suivi en soupirant. Elle devait penser que je savais à l'avance qu'elle allait dire oui, mais s'était complètement faux. Et j'esperais qu'elle ne se tromperait pas sur mes attentions.
J'ai attrapé par Meaghan, salué Cathy et j'ai traversé le couloir pour prendre l'ascenseur en la tirant.
Une fois dans l'ascenseur j'ai fait :

-Est ce que tu dois repasser chez toi ? PArce que sinon, on va directement à l'aéroport.

- Bon ! On va pas s'éterniser, j'ai reservé deux places dans l'avion qui part dans une heure, on a le temps de recuperer tes affaires et s'envoler ensuite pour ... tu sais où.

J'ai souris et soupirer, cela ne m'étonnait pas que Jack ait prevu que je l'accompagnerais à Forks, je sais que Jack n'avait pas pu demander à Damian, alors quoique je dise il serait partit tout seul surveilleir Lilou, alors ...
Jack s'est lancé sous mon bureau pour récuperer mon sac et y ranger toutes mes affaires, il m'a lançé mon sac et j'y ai rajouté des objets qui me tenaient au coeur, une photo de mon père Meryl et moi, un stylo que m'avait offert Cathy pour me consoler de la première critique négative sur mon livre et tous les manuscrits et papiers qui étaient important, qui parlaient des vampires et de leurs chasseurs. J'ai étreins Cathy et me suis impregnée une dernière fois de son odeur de shampoing à la papaye.

J'ai suivi Jack qui traversait tous les bureaux à la vitesse dix, il s'est retournée et a du me juger trop lente, car il m'a pris la main et m'a tiré comme un malade vers l'ascenseur. Quand les portes de métal de l'ascenseur se sont fermées, il s'est tourné vers moi et m'a dit :

-Est ce que tu dois repasser chez toi ? Parce que sinon, on va directement à l'aéroport.

J'ai secoué la tête en souriant et verifiait se qu'il y avait dans mon sac, maes cartes bleues, mon chéquier, mes papiers, etc ... Coup de bol, j'avais encore mon passeport dans la poche ! Yes !

-On peut aller directement à l'aéroport, de toute façon, d'après ce que tu as dit, on ne risque pas de s'éterniser là-bas non ? On y va, on fait coucou et on s'en va ?

Les portes se sont ouvertes et nous sommes sourtis dans le hall, Dan, le vigile du hall me salua et ouvert de grands yeux en voyant mon camarade.

-À dans une semaine Dan ! lui ai-je fais avec un signe de la main.

J'ai helé un taxi qui nous as pris, vingt minutes plus tard nous étions en train d'attendre dans l'aéroport. Une femme agée d'une trentaine d'année est venue me voir et m'a fait :

-Vous êtes, Meaghan Turner ?

Cinq minutes plus tard je haissais mon nom, Cathy qui avait insisté pour mettre ma photo au dos du livre. La salle était devenu une salle de dédicace. Jack qui me regardait à présent avec un pâle sourire et l'avion qui partait dans cinq minutes.
Jack m'a chopé le bras quand le dernier appel à retentit et m'a amené jusqu'au hall d'embarquation.

-Jack ! Je te hais, je te hais, je te hais ! Ca faisait quasiment deux ans que je sors plus vraiment de chez moi pour éviter des émeutes et toi tu me traines là où il y a le plus de monde !

Je me suis installée dans mon siège pour être tranquille. Et j'ai allumé mes écouteurs et je me suis preparée à un long voyage vers mes souvenirs.

(to --> Seattle)

» Meaghan Turner