Journée chargée au commissariat de Forks.

(Si ca ne vous dérange pas, j'inaugure ce sujet )

J'avais trouvé au dernier moment une crèche pour Violet. Je m'étais levé pour préparer notre petit déjeuner. Ce n'était pas simple, je devais aller traviller dans une heure et demie et je n'avais pas la moindre idée de comment faire pour Violet.
J'allais courir, mais ce ne changerait pas de d'habitude, partout où nous étions allés, nous avions du courir la première semaine avant que notre train de vie s'installe, jusqu'à ce que quelqu'un nous retrouve. Jusqu'à quand je devrais infliger ça à Violet ? Je savais qu'elle detestait ça autant que moi.
Je pris une douche rapide avant de grimper à l'étage avec un biberon de lait chaud à la main.
Violet dormait encore, ce qui était étonnant, d'habitude, à cette heure ci, la petite était réveillée depuis longtemps et pleurait pour que je la sorte de son lit.
Mais non, elle était recroquevilé sur elle. Le bout de dras qui lui servait de doudou était coincé dans ses mains et la couverture dont je l'avais recouverte hier soir était en boule au pied de son lit.
Je tirai un siège et le posais près du lit et m'assit pour la regarder.
Quand elle dormait, c'était un ange. Bien sûr, elle l'était aussi quand elle était réveillée, mais elle était tellement agitée qu'on ne pouvait pas prendre le temps d'écouter sa voix ou de regarder attentivement son visage.
Certes, elle était aussi un ange du côté de son caractère, elle n'était pas capricieuse, elle n'était pas égoiste, elle ne reclamai jamais ou seulement un peu d'attention. C'était une merveille de la nature.
Je jetai un regard à ma montre, plus que quarante minutes ! J'allais être VRAIMENT en retard si ca continuais.
Je me levai en soupirant et remis le tabouret à sa place avant de l'embrasser sur la joue.

-Violet ? Debout la belle au bois dormant !

Elle ouvrit péniblement les yeux et me fit un petit sourire avant de refermer imédiatement les yeux. Je la pris dans mes bras et lui donnais son biberon qu'elle se mit à boire encore à demi endormie.
Je la déposai dans son siège et j'allais chercher des vêtements propres et sa brosse à cheveux.
Elle était complètement réveillée quand je revins la voir pour prendre son biberon fini jusqu'à la dernière goutte.
Je démellais ses cheveux avant de les attacher et de la surveiller pendant qu'elle prenait son bain. Je l'aidais à s'habiller et nous fûmes prêts vingt minutes plus tard.
Il me restai plus que vingt autre minutes pour trouver quelqu'un pour la garder et aller au commissairiat. Autant dire que ce ne serait pas une partie de plaisir !
Heureusement, je découvris une crèche à deux patès de maisons plus loin.
Je la déposai et courut pour aller à mon travail, il était nouveau et je ne comptais pas le perdre. Sans compter que June, ma voisine, travaillait aussi ici.
J'arrivais pratiquement le premier. Charlie Swan, le shérif me salua. J'allais faire du café et retournais m'assoeir à mon bureau.

-Salut tout le monde ! fis je quand d'autres policiers arrivèrent.

Ce fut la guerre, comme d'habitude.
Jude et sa soeur se disputèrent la salle de bian pendant vingt minutes, à laquelle Jude fut vainqueur. Pendant que la limace qu'était le frère de June prenait sa douche, June prit son petit déjeuner en priant les dieux pour qu'il arrive une maladresse à son frère, quelque chose comme une flaque d'eau mal placé ou une plaque de verglas exrtremement glissante.
June se doucha à la quatrièeme vitesse et enfila les vêtements qu'elle avait préparer la veille au soir.
Juste un chemisier bleu clair et une jupe d'un bleu bien plus foncé que le chemisier. Elle coiffa ses cheveux et leur donna un air d'ordre avec un bandeau or. Elle se maquilla légèrement, et, enfilant sa veste, elle fonca vers la voiture de son père qu'elle démarra avec une extreme précaution et la lanca sur la route des bureau du shériff.
D'apès ce que lui avait dit la personne qu'elle avait eu au téléphone, un certain Ben, ils étaient sept ou huit adjoint et le shérif, Charlie Swan, veillait sur eux.
Charlie Swan travaillait dans la police depuis plus de cinq décennie, il allait bientôt partir à la retraite et nommer son successeur.
Il paraitrait aussi que trois personnes pouvaient avoir le job, dont un nouveau. Il y avait celui qu'elle avait eu au téléphone, un certain Ben, le nouveau Elijah et un autre dont le nom ne s'était pas inscrit le moins du monde dans sa mémoire.
June se gara sur le parking casiment vide et descendit en prenant ses documents, il se trouva que la jeune feme s'était malencontresement garée juste devant un plaque de verglas. En regardant devant elle, et non à ses pieds, elle glissa dessus et s'étala par terre.
Bilan de la chute : document éparpillé par terre et possibiltée de bleu sur la cuisse et le genou qui avaient amortis.
June rassembla ses documents et se releva tant bien que mal.
Elle entra dans le commissariat et déposa sa veste et ses documents sur le bureau qu'on lui avait assigné et chercha le dénomé Ben qu'elle salua après avoir trouvé.

-Bonjour mademoiselle Wyller.

-Vous pouvez m'appelez June tout court.

-Bien June, alors, comment trouvez notre ville ?

-Plutôt bien gardée.

-Vous découvrerez bientôt que la police est respectée par tout le monde.

**Comme dans toutes les autres ville, je présume.**
pensa la jeune femme.

-Bien, donc je vous laisse pour le moment, nous n'avons pas de tache à vous confier pour le moment, vous pouvez observer.

**Je suis venue pour ça espece d'imbecile !**

-Merci, fit la jeune fille en souriant.

Puis elle repera Tobbey assis à son bureau de l'accueuil et courut presque pour aller à sa rencontre.

-Bonjour Tobbey. Alors ? Tu as réussis à trouver une solution pour Violet ?

J'entendis une voiture se garrer sur le parking, je regardai par la fenêtre, June arrêta sa voiture, je vis une surface miroitante à côté de la roue avant, une plaque de verglas. Je n'aurais pas le temps de la prévenir. Ah ! Et horreur suprème : elle avait des talons !
Le résultat, June tomba par terre, et les feuilles qu'elles tenaient s'éparpillèrent autour d'elle. Elle se releva tant bien que mal et ramasa ses documents pour venir ici et les déposer sur un bureau.
Elle alla ensuite voir Ben, le second de Charlie Swan, qui sembla l'embeter au plus haut point.
Elle parcourut la salle des yeux et me trouva, ses yeux s'illuminèrent et elle courut vers moi.

-Bonjour Tobbey. Alors ? Tu as réussis à trouver une solution pour Violet ?

Je lui souris et éclatai de rire puis la regardait de haut en bas. Ca la changeait d'hier, elle paraissait plus ... adulte. En vérité elle faisait son âge. Elle portait un élegant chemisier et une jupe, puis, je pense que les talons la rendait plus sérieuse que les baskets.

-Oui, oui ! Elle a une place dans une crèche non loin d'ici, en Septembre, elle pourra aller à l'école.

Puis je regardai Ben qui nous fixait avec un regard interrogateur. J'étouffai un rire dans une gorgée de café.

-Ah ! Et alors, avec l'agent Ben ?

Je devinai sans peine ce à quoi elle pensait. Etant donné qu'il était sur la liste du possible futur shérif, il était très arrogant et désirait rabattre tous les autres agents. Il était aussi extremement arrogant en ce moment.

Tobbey offrit un sourire chaleureux à la jeune fille, puis il éclata de rire en la dévisageant de haut en bas, la jeune fille se sentit rougir sous le regard du jeune homme. Mais pourquoi rougissait-elle d'ailleurs ? Elle n'avait pourtant aucune raison, c'était vraiment bizarre d'ailleurs, June n'avait jamais ressenti cela.
Tobbey sembla la jauger de haut en bas avant de continuer :

-Oui, oui ! Elle a une place dans une crèche non loin d'ici, en Septembre, elle pourra aller à l'école.

Il jeta un regard derrière la jeune femme, elle supposa que l'officier Ben était toujours derrière eux. Tobbey attrapa sa tasse de café et étouffa une rire dedans, la jeune femme fut également prise d'un four rire à la vue de son ami mort de rire. Elle l'interrogea du regard et finit par repondre.

-Ah ! Et alors, avec l'agent Ben ?

June fit une grimace de dégoût en sachant pertiament que le Ben en question ne la voyait pas d'ici. Elle étouffa un rire dans sa main avant de continuer d'une voix admirative.

-Oh, il m'a l'air très professionel.

Elle grimaca en essayant de se reprendre, elle esperait silencieusement que les autres futurs shérif seraient plus imable que ce Ben.
Elle se rendit compte qu'elle n'aurait pas craché sur une tasse de café.

-Et bien, c'est une bonne nouvelle si Violet a été placée, tu reveux du café ? Je vais en chercher.

June lui jeta un regard interrogatif quand l'agent Ben s'avanca vers elle et lui donna sa tasse.

-Oh alors j'en veux bien moi aussi.

Elle le regarda et finit par accepter en tendant sa main pour prendre la tasse de Tobbey.

La jeune femme fit une grimace pour décrire Ben, je m'efforcais de garder une tête a peu près sérieuse pendant qu'elle étouffait un rire avec ses mains. Ses soubresaut faisaient voltiger ses boucles, s'étaient encore plus marrant.

-Oh, il m'a l'air très professionel, fit-elle d'une voix où résonnait l'admiration. Et bien, c'est une bonne nouvelle si Violet a été placée, tu reveux du café ? Je vais en chercher.

June me jeta un regard interrogatif, je regardais l'intérieur de ma tasse et me rendis compte qu'à force d'étouffer des crises de fou rires, je n'avais plus de café. J'allais lui tendre ma tasse avec un sourire reconnaissant mais Ben qui était venu s'incruster dans la discussion lui tendis sa propre tasse avant moi. Il me jeta un regard froid en le faisant, comme s'il me mettait au défi de faire la même chose. Je ne saurais pas dire pourquoi, mais j'eus l'impression qu'il me cherchait vraiment.
Pour moi, il avait beau être un super policier,s'il ne changeait pas d'attitude, il allait avoir beaucoup d'ennemi.

-Oh alors j'en veux bien moi aussi.

Elle me regarda ave regard suppliant auquel je répondis avec un sourire amical en lui tendant ma tasse à mon tour.
Je la regardais s'éloigner, je l'aurais volontier accompagné mais Ben me barrait le passage.

-Tu connais June, Hill ?

-Faut croire. Non, je rigole, oui, on est plus ou moins pote.

-Tu crois qu'elle accepterais d diner avec moi ?

Il me cherchait, c'était clair et net comme de l'eau de source. Mais pourquoi il le montrait aussi bien, pour essayer de me faire croire que je n'avais aucune chance avec elle. Et puis d'abord, pourquoi croyait-il que je voulais sortir avec June ? Ce n'était que mon amie, qu'était-il pour elle, lui, d'abord ?

-Tu me demandes à moi ?

-Non, je parlais à haute voix, je n'ai pas besoin de ton avis, la réponse est clair, elle acceptera.

Je haussais le sourcil pendant qu'il me lancais un sourire méprisant auquel je rpondis en haussant les épaules, si ca pouvait l'amuser d'essayer de me faire sentir tout petit devant lui. Je le suivais du regard quand il se dirigea vers June.

En descendant de la nouvelle moto noire étincelante que m’avaient offert Ava et Jack, je ne pu m’empêcher de songer encore une fois que jamais je ne pourrais assez les remercier. Ces vampires étaient dingues… Avoir tellement d’argent qu’on pouvait se permettre d’offrir une telle merveille à un ami de passage, ça me dépassais totalement… Mais le fait était que j’étais vraiment très très heureux de ce cadeau. Je me retins d’appeler ces faux frère et sœur une nouvelle fois mais j’eu peur qu’il finisse vraiment par venir me la reprendre par ennui, comme ils m’avaient menacés de le faire.

Dans un sourire pensif, je remontais le col de mon manteau en traversant le parking du commissariat. J’avais eu droit de la part de Charlie à trois jours de congé, et je lui en étais très reconnaissant. Il paraissait que pendant mon absence, du beau monde avaient fais leur apparition. Cette hypothèse me fut confirmée quand je passais le seuil du bâtiment confortable auquel j’étais maintenant bien habitué. Dans le hall, à côté de la machine à café se tenait une jeune fille que je n’avais jamais vue, l’air ravissante, et peut-être à peine plus jeune que moi. Mes yeux passèrent sur le vieux Ben qui marchait en direction de la machine sans s’arrêter - vision trop banale pour attirer mon attention – et finirent par s’arrêter sur un jeune homme, peut-être du même âge que moi, adossé à l’embrasure d’une porte. Voilà donc les « petits » nouveaux dont Charlie entre autre lui avait parlé !

Dans un sourire, je me débarrassais de ma veste que j’accrochais à un parterre prévu à cet effet. J’aurai aimé dans un premier temps vérifier sur le tableau quels évènements j’avais pu manquer pendant mes jours de congé, mais quelque chose m’empêcha de me glisser directement dans ma peau de policier modèle. C’était l’expression suffisante de Ben alors qu’il jaugeait la jeune fille devant lui en se dirigeant vers elle. Ses dents jaunies derrière ses lèvres retroussées dans ce sourire ignoble, sa main passant dans les quelques cheveux qu’il lui restait… Je n’imaginait que trop bien la scène de flirt écœurante qui allait s’en suivre, connaissant assez le vieux Ben pour cela. Je ne pouvais décemment pas laisser ça passer sans réagir. J’arrivais promptement entre eux deux, sans savoir si l’officier avait eu le temps de placer quelques unes de ses fameuses répliques et m’emparait de la cafetière que la jeune fille venait de brancher.

-Je m’occupe de ça ! Je vous apporte vos cafés, c’est promis, m’exclamais-je faussement enjoué avant de me tourner vers mon collègue. En attendant, j’aimerai un peu parler avec vous Ben… Comment allez-vous depuis trois jours que je ne vous ai pas vu…

Je ne savais pas si la jeune fille m’avait compris, mais elle finit par s’en retourner auprès de l’autre nouveau avec qui elle sembler parler depuis un moment. J’écoutais un Ben un peu frustré parler d’une oreille distraite en hochant la tête d’un air bienveillant, puis, quand le café fut près, je pus remplir trois tasses et je faussais compagnie à mon collègue, en les tenant dans un équilibre précaire.

-Les cafés sont près, lançais-je en approchant les deux nouveaux avant de déposer les tasses qui commençaient à me brûler les paumes des mains sur un meuble. Non ne dites rien… Dans un effort intense pour me rappeler les noms que m’avait répété Charlie, je finis par sortir, peu sûr de moi : June Wyller… et Tobbey Hill, c’est ça ?... Ravi de vous rencontrer enfin. On n’a pas eu l’occasion d’être présentés ! Je m’appelle Elijah Preyston !

Dans un signe de tête, je récupérais ma propre tasse et soufflais dessus avant de leur demander :

-Vous venez d’arriver sur Forks d'après ce que m'a dit Charlie... Comment ce sont passés vos premiers jours ici ?

June s'attendait à ce que Tobbey la suive, ils auraient pu continuer leur discussion tranquillement, masi non, elle ne prit même pas la peine de se retourner. Peut-être un problème ave Ben qui sait ? June était perdue dans ses réflexions lorsque une main s'empara de la cafetière qu'elle venait de remplir d'eau et qu'elle allait brancher. Elle se retourna, prête à engueuler la première personne qu'elle verrait, mais ce fut un charmant jeune homme, sûrement légèrement plus vieux qu'elle, et derrière lui, Ben, qui se rapprochait dangereusement en souriant.

-Je m’occupe de ça ! Je vous apporte vos cafés, c’est promis, lui dit le jeune homme d'un ton enjoué avant de se retourner vers Ben. En attendant, j’aimerai un peu parler avec vous Ben… Comment allez-vous depuis trois jours que je ne vous ai pas vu…

Elle avait compris le message, elle lui en était reconnaissante, elle fila ejoindre Tobbey, et au lieu de tirer un siège, elle s'appuya légèrement sur le bureau en regardant le jeune homme et Ben parler.

-Je crois que je vais adorer ce type, fit-elle à un Tobbey qi s'esclaffait comme à son habitude.

Mais la cafetière ayant finit son labeur, le jeune homme revint vers eux avec trois tasses de café.

-Les cafés sont près ...Non ne dites rien… June
Wyller… et Tobbey Hill, la jeune fille sourit en acquiescant. C’est ça ?... Ravi de vous rencontrer enfin. On
n’a pas eu l’occasion d’être présentés ! Je m’appelle Elijah Preyston !

C'était donc lui Elijah Preyston ! June fut toute de suite sûre pour qui elle voterait au choix du sucesseur de Charlie Swan, sans lui, elle serait encore devant la machine à café en train de se faire draguer. Elle porta la tasse qu'Elijah venait de lui apporter et avala une gorgée.

-Vous venez d’arriver sur Forks d'après ce que m'a dit Charlie... Comment ce sont passés vos premiers jours ici ?

La jeune fille consulta Tobbey du regard en cherchant son avis et finalement décida de parler la première.

-Plutôt sympathique, beaucoup trop de bataille de neige dans les rues, à mon sens en tout cas. Mais sinon ca allait.

Elle termina avec un sourire avant de prendre un ton qu'elle jugeait assez bas pour que seul Elijah et Tobbey l'entende.

-Et je crois savoir vers qui penchera mon avis pour le prochain shérif, merci encore.

Reperant le Ben qui se rapprochait d'eux, elle tacha de retrouver le même ton que précedement.

-Et puis ... malgré ses apparences, Forks est tout sauf une ville calme.

Je regardais Ben s'approcher de June, pensant evidement à l'hypothèse d'aller à leur rencontre pour éviter ça à June mais je me souvins qu'elle était à même de se défendre toute seule comme une grande.
Et puis, un autre policier qui avait, visiblement, assisté à la même scène ignoble que moi, se porta à la rescousse de June en prenant sa place à la machine à café.
Elle revint vers moi avec un sourire plutôt soulagé, qui ne le serait pas ?
Elle avait l'air tellement soulagée, d'ailleurs partagé avec un sourire d'admiration, que je ne pus m'enpecher de m'esclaffer bruyament.

-Je crois que je vais adorer ce type, me dit-elle.

Je regardais l'homme dont elle parlait, il devait avoir le même âge que nous, peut-être plus vieux que June qui sait ? Mais il faussa bien vite compagnie à Ben avec trois tasses de café qu'il nous donna.

-Les cafés sont près ...Non ne dites rien… June Wyller… et Tobbey Hill.C’est ça ?... Ravi de vous rencontrer enfin. On n’a pas eu l’occasion d’être présentés ! Je m’appelle Elijah Preyston !

En acquiescant, June avala une gorgée de café tandis que j'étais occupé à détailler ce Elijah Preyston, aussi jeune pour reprendre le poste de Swan ? Bizarre ça, il devait être vraiment exceptionnel.

-Vous venez d’arriver sur Forks d'après ce que m'a dit Charlie... Comment ce sont passés vos premiers jours ici ?

June m'interrogea du regard, elle avait tellement l'air pressée de parler que je ne pus retenir un nouveau sourire.

-Plutôt sympathique, beaucoup trop de bataille de neige dans les rues, à mon sens en tout cas. Mais sinon ca allait.

Ah ! Elle n'avait visiblement pas apprecier la bataille qui s'était déroulée devant nos yeux, hier. J'eclatai de rire mais redevint sérieux quand elle prit un ton bien plus bas.

-Et je crois savoir vers qui penchera mon avis pour le prochain shérif, merci encore. Puis prenant le même ton qu'avant : Et puis ... malgré ses apparences, Forks est tout sauf une ville calme.

-C'est bien vrai ça ! lançai-je à la cantonnade. La police de ce compté accepte les guerres froides si tôt ? demandai-je en pensant au bataille de boule de neige qui avait été très nombreuse la veille.

Je remettai en place la photo de Violet devant le téléphone en prenant ma tasse de café.

-Il parait qu'aujourd'hui, le chef Swan et d'autres policiers retournent sur les traces des animaux retrouvés dans la foret et que si ca donne rien il laisseront tomber. Ce que je trouve bizarre, c'est que le Chef semble avoir vu ca et qu'il essaye de le cacher, mais ce n'est qu'une impression.

-C'est bien vrai ça !La police de ce compté accepte les guerres froides si tôt ?

Donc, Tobbey était bel et bien d'accord avec la jeune femme, ca lui fit chaud au coeur et lui sourit en retour. Elle l'observa relever la photo de la petite Violet, ca devait être dûr pour le jeune homme de passer sa première journée sans sa fille.

-Il
parait qu'aujourd'hui, le chef Swan et d'autres policiers retournent
sur les traces des animaux retrouvés dans la foret et que si ca donne
rien il laisseront tomber. Ce que je trouve bizarre, c'est que le Chef
semble avoir vu ca et qu'il essaye de le cacher, mais ce n'est qu'une
impression.

C'est vrai que la jeune fille avait également vu le programme sur le panneau d'affichage des choses à faire. June hocha lentement la tête et jeta un regard dehors et remarqua une belle moto qui n'était pas là à son arivée.

-On gagne assez au bureau de shérif pour s'offrir une telle moto ?

Elle sourit et avala une nouvelle gorgée de café, et regarda d'un regard lointains le panneau.

-C'est vrai que c'est étrange, ces animaux morts je veux dire, j'ai faits des recherches, d'autres animaux ont été retrouvés dans le même état dans l'Olymic national Park ainsi que dans d'autres grandes réserves naturelles.

-On gagne assez au bureau de shérif pour s'offrir une telle moto ? demanda t-elle à l'agent Preyston en souriant.

June lanca un regard au panneau d'un oeil absent.

-C'est vrai que c'est étrange, ces animaux morts je veux dire, j'ai faits des
recherches, d'autres animaux ont été retrouvés dans le même état dans
l'Olymic national Park ainsi que dans d'autres grandes réserves
naturelles.

Bizarrement, June avait raison, c'était plutôt étrange d'ailleurs, c'était un peu comme si Charlie Swan savait quelque chose mais le cachait un peu. Mais je remarquai aussi que June semblait savoir, elle aussi quelque chose.
Je me redressai pour la essayer de capter discretement le regard de June.

-C'est vous qui êtes dessus, Elijah ? Le problème des animaux s'entend bien sûr.

Je le regardais discrètement, prêt à lui reposer une question, mais le tééphone sonna et je n'eus pas d'autre choix que de déccrocher.

J'arrivai avec la Jeep, une journée chargée de recherche se profilait, mieux vallait être equipé pour transporter des passagers tout en acceptant les reliefs du relief. Même si ca devait être l'oeuvre de vampires, mais lequels ?
Ni les Cullen, ni ma famille n'aurait chassé aussi près des humains. C'était plutôt inquietant.
C'était amusant de sauver la vie des humains, j'en avais discuté avec Carlisle qui était vite devenu un ami, nous étions tous les deux d'accord, ces humains ne se doutaient pas un instant qu'iles étaient fragiles, menacès et proteges.
Ca aidait aux anciens "carnivores" de se dire qu'ils avaient faillis passé à côté de ça.
Bien sûr, je ne comptais absolument pas rejoindre l'ordre des medecins, je ne sais que trop bien ce qui se passerait, je n'avais pas autant de retenu que Carlisle.

Et puis, ces jours ci, je commencais à manquer de ressources, il fallait que j'aille chasser, je profiterais des deux jours de demain, il y allait avoir du soleil, l'occasion révée de profiter.
J'en avais déjà discuté avec Charlie, il semblait d'accord. C'était donc déjà ça. Mais c'était parce qu'il avait déjà recu deux nouveaux, enfin bon, quoi qu'il en soit, s'il acceptait ce serait bien, parce que je ne m'en sortirais pas tout seul, je mourrais de soif, mes yeux noirs le refletaient.

Je descendis de la voiture et remarquai sur le parking, la moto qu'avaient offert Ava et Jack à Elijah. Il était déjà arrivé, je me demandais combien de temps devrais-je attendre pour qu'on parte voir la foret.
J'adorais voir Charlie cacher des traces, il savait qu'il s'agissait de vampire, et nous protegeait, c'était génial de sa part.

Je ne savais pas que les nouveaux venaient aujourd'hui, mais je les reperai directement, deux jeunes, vraiment très jeunes, l'un était assis à un bureau et l'autre adossée devant lui et ils parlaient avec Elijah.
Le vieux Ben les regardaient derrière, un peu sonné. Je ris et me dirigeait vers la petite assemblée.

-...problème des animaux s'entend bien sûr.

-Bonjour Elijah ! lançai-je en balancant mon manteau sur ma chaise de là où je me trouvai.

J'étais concentrée sur un appel d'une vieille dame déplaurant la disparition de son chat Eustache quand un homme impression salua l'agent Preyston.
Un géant barraqué comme les catcheurs de la télévision de qui il emanait une sorte de force et de sagesse balança d'un geste élègant sa veste sur un bureau qui était vide.

Je ne me souvenais pas avoir entendu parler de lui. Certes, dans la rubrique "personnes impressionante" j'avais entendu le nom de quelque Cullen ainsi que celui des Sawcha dont les jumeaux Ava et Jack semblaient être les dieux du lycée. Mais je ne savais pas qu'un Cullen ou un Sawcha travaillait dans la police.
J'attendis donc patiament la fin de l'appel avany de me pencher vers Elijah et de lui chocheter le plus discretement possible :

-Qui est-ce ?

La carrure de Damian était tellement imposante qu’il semblait impossible de se mouvoir ainsi sans émettre aucun son. Pourtant, je fus dans l’incapacité de l’entendre, et ce malgré mes fréquents entraînements par le passé. Il lança son manteau sur une chaise à côté de moi et je du faire appel à la plus grande maîtrise de moi pour ne pas montrer de surprise.

-Bonjour Elijah, lança-t-il de sa voix tonitruante et Tobbey à côté de moi se pencha pour murmurer à mon oreille :

-Qui est-ce ?

Je pris soin de chuchoter à mon tour, tout en sachant pertinemment qu’aucunes de nos paroles n’échappaient à Damian.

-Damian Sawcha, un grand ami du docteur Carlisle Cullen. Ses enfants sont au lycée, dans la classe de ma cousine…

Me relevant, j’attrapais la main glacée de Damian que je secouais vigoureusement.

-Comment allez-vous Damian ? Je suppose que vous êtes venus vous aussi attiré par l’histoire de ces massacres étranges ?... Peut-être que vous pourriez nous apporter votre aide ?

Me tournant vers Tobbey, je lui expliquais:

-Les Sawcha, tout comme les Cullen sont de grands férus de la nature et ils partent très souvent en randonnée dans la forêt. Ce sont eux qui connaissent le mieux les alentours de Forks et tout ce qui y vit… Leurs connaissances nous ont été très souvent bien utiles…

Me tournant de nouveau vers Damian, je vis qu’il regardait au loin, le visage absent, comme habité par quelque chose, puis soudainement, il me lança un regard perçant et le téléphone sonna à nos côtés.

-Allo ! Vite ! Il y a eu un accident, dans les bois de Saint Wood, a 5 kilomètres de Beaver ! Il y eu une fille qu’est sonnée ! On a déjà appelé une ambulance !!! Venez vite ! Pas de signes du conducteur, non je ne quitte pas… Oui, je reste en ligne…

Instantanément, le commissariat fut en ébullition, et une voix couvrit toutes les autres.

-Preyston, Hill, cria Charlie de son bureau. Sur place, immédiatement !

La seconde d’après, nous étions en route pour l’accident dans une des voitures de fonction, la sirène retentissant et j’empêchais mon cerveau de trop réfléchir par peur de ce que j’allai découvrir. Je comptais sur Damian pour de son côté prévenir les autres, au cas où…

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