Meurtre à Forks

Amy Freening était une jeune femme de vingt ans. Dans sa petite maison blanche du deuxième quartier, elle prenait bien soin de se maquiller le visage. Pendant qu’elle appliquait son mascara sur les cils, elle remuait les lèvres pour prononcer avec cœurs les paroles de « Holiday » de Green Day. Rangeant son mascara, elle se retourna, quittant la glace et balaya du regard sa chambre au mur noir, décoré d’objets plus rouges les uns que les autres. Un sourire s’étira sur ses lèvres, elle était tellement heureuse. Pas plus tard qu’hier soir, elle avait eu le bonheur de croiser un homme tout à faire charmant. Il était nouveau et c’était elle, ELLE qu’il avait choisit, elle à qui il avait donné un rendez-vous galant. Il était tellement canon !

Elle fixa sa montre, elle ne devait absolument pas être en retard. Elle attrapa rapidement le flacon de parfum qu’elle avait laissé sur sa veille commode, puis s’élança en courant dans le couloir. Pendant qu’elle enjambait les marches quatre à quatre, elle s’aspergea le cou, une main puis arrivée en bas, elle balança le flacon sur son canapé. Saisissant sa veste rouge, elle ouvrit la porte à volée, donnant un petit cou de talon en arrière pour pousser son petit King Charles qui voulait à tout prix partir avec elle.

- Non Shnapy, non !


Elle referma brusquement la porte derrière elle, la claquant au nez de l’animal qui se demandait quelle était la cause de cette excitation. Qu’avait donc sa maitresse ? Elle semblait emballée. Amy en était sûre : c’était son jour de chance. En fait, elle s’était même préparé à perdre sa virginité ce soir : après tout, elle ne pourrait rien refuser à une telle beauté alors autant qu’à être prévoyante…

- Bon allez ! Direction le parc !





La nuit était tombée. Une journée entière s’était passée et l’atmosphère semblait toujours aussi lourd. Dans la forêt, même les animaux nocturnes ne montraient guère le bout de leur museau, comme si quelque chose d’effrayant allait se passer. La paix était là. Aucun bruit, aucun pas…la forêt était morte. Une mort apaisante, sans bruit. Mais soudain, tout se bouscula : une ombre passa à toute allure, un cri se fit entendre et les animaux commencèrent à sortir de leur cachette pour s’enfuir. C’était une voix de femme. Cette femme, habillé d’une veste rouge déchirée, courrait. Elle avait perdue ses chaussures et du sang coulait de la tempe de son visage.

Puis elle s’arrêta. Elle ne savait plus par où aller. Où était-il ? Pourquoi faisait-il ça ? Ne pouvait-il pas l’achever immédiatement plutôt que lui faire endurer ces épreuves ? Elle prit la gauche. Elle se mit à nouveau à
courir puis s’arrêta encore une fois. Elle était terrorisée. Elle recula, s’adossant à un arbre. C’est alors qu’elle entendit un bruit, juste au dessus d’elle. Sans se décoller du tronc, elle mit sa tête en arrière pour voir en dessus d’elle. Elle vit alors un visage masculin qui la fixait, elle le voyait à l’envers. Le visage lui sourit et la voix de l’homme lui dit :

- Oups…on dirait bien que tu as perdu, Amy !

A cet instant, l’homme sauta de l’arbre et la femme cria, un cri qui aurait même fait fuir les plus hardis des loups garou.





Vingt quatre heures plus tard. Les habitants ignoraient tout de cette fameuse soirée. D’ailleurs, comment auraient-ils pu être au courant du déroulement de celle-ci ? Personne ne pouvait le savoir…En revanche, tout le monde allait bientôt être au courant de l’élément essentiel, la conclusion.

Emeric Sullivan entra à l’aube dans le pub fréquenté par tous les lycéens avant d’aller en cours : le Vampir’s Wolf – un nom qu’Emeric trouvait légèrement ridicule– et s’assit à une chaise. Le serveur lui sourit et comme à son habitude, il ne tendit qu’un cendrier. Emeric ne consommait que de la cigarette ici. Pour une raison inconnu il refusait de boire ou manger quoique ce soit. Aujourd’hui, il avait l’air légèrement fatigué, comme s’il n’avait pas beaucoup dormit. Cela était un peu idiot si l’on savait qu’il était un vampire. Emeric ne remercia même pas le serveur. Il n’était vraiment pas dans son assiette. Immédiatement, il mit sa tête entre ses mains, comme s’il avait mal, puis une main sur la bouche
comme s’il allait vomir. Le barman lui demanda :

- Ca va monsieur ?
- La ferme !


Du tac-o-tac, Emeric lui répondit de façon agressive. Le barman s’éloigna, n’en demandant pas plus : ce n’était pas drôle d’être malade de la grippe, il pouvait comprendre…Avoir cette maladie n’était déjà pas drôle alors si en plus tout le monde vous demandait si vous alliez bien, il était compréhensible que vous vous énerviez. Le barman fut tiré de ses pensées par un habitant, le vieux McGlower, qui s’écria :

- REGARDEZ !


Immédiatement, Emeric y comprit, tout le monde tourna la tête vers lui, il montrait le journal qui montrait la photo du chef de police, Charlie Swan. En gros titre, Emeric pu lire : « Meutre suspect à Forks : la police suspecte des ours ».
Emeric releva encore plus la tête et se dirigea vers le vieux McGlower et tous les autres clients firent de même. Le vieux se mit à rire, pipe en bouche, comme s’il était content que l’article attire autant de personne. Puis il se mit à lire pour tout le monde, à voix haute :

Un journaliste a écrit: « Hier, une femme d’une vingtaine d’année à été retrouvée morte dans un fossé au bord de la route qui mène à la sortie de Forks. Amy Freening, que la plus part des habitants connaissait comme étant une bonne vivante, a en effet littéralement été dévoré par une étrange créature. Charlie Swann, chef de la police de Forks, affirme que la situation est sous contrôle et que ce qu’ils pensent être un troupeau d’ours va vite être remis en cage. Cette hypothèse survient suite à la disparition des ours du parc naturel, mais le dirigeant affirme que des ours ne peuvent pas causer ce genre de blessure, encore moins ceux du parc. Il nous dit : Les ours du parc ont été habitué à manger de la nourriture fournie mais n’attaquerait pas un humain. De plus, les traces de blessure ne correspondent pas à leur mâchoir ou leurs griffes. Je pense que la police essai de cacher quelques choses de beaucoup plus grave à la population. »

Tous les habitants fixaient le vide, terrorisé. Il était évident que
cette histoire allait mobiliser toute la ville, du moins ceux qui
n’avaient pas peur des animaux sauvages. Owen quant à lui, afficha une
grimace et se rassit à sa place, comme si de rien était. Le barman lui
glissa :

- Monstrueux hein ? Pauvre fille…
- Ouai…comme vous dites…répondit Owen s’en plus de conviction.


Il était évident que d’ici quelques minutes, tout le village serait au courant. La question était: comment allaient-ils régirent?

L'affaire Amy Freening, pauvre fille. Des randonneurs avaient retrouvés son corps dans un faussé près de la forêt. Vu l'état de son corps, nous avions conclu que c'était la faute d'un ours, bien que soyons en pleine période d'après-reproduction et ces ours avaient autre chose à faire que manger le premier venu. J'en avais parlé à Ben mais il m'avait éclaté de rire au nez et m'avait conseillé de "laisser faire les grands".
Pourtant June avaient été d'accord avec moi et bizarrement, Charlie Swan et Elijah Preyston semblaient absolument d'accord avec moi et même plus au courant encore. Cependant je ne m'aventurais pas à poser des questions et laissaient mes reflexions pour mes soirées en compagnie de June.
Ce qui était amusant, c'est qu'aucun des policiers qui ne croyait pas à la thèse des ours étaient tous présent le soir quand quelqu'un avait lu l'article à haute voix. J'étais là avec June, Elijah et son amie Meaghan. Et, il y avait eu cet homme qui semblait malade et qui était extremement violent, comme s'il avait quelque chose à se reprocher où à se féliciter.
J'en avais fait part à Elijah et il semblait savoir de quoi il s'agissait.
Puis vers la fin de la soirée, lui et son amie étaient repartis comme s'ils allaient se parler toute la nuit. Comme s'ils venaient de se retrouver.
Ce matin, le comissariat était plutôt calme, suite à une dispute avec Elijah, l'officier Sawcha n'était pas revenu au poste depuis la mort d' Amy Freening. Il n'y avait pas eu d'atres attaques, l'affaire ramait complètement, il n'y avait plus d'indice ni quoi que ce soit.
En plus, cela faisait plusieurs jours qu'il pleuvait averse.

<Quelque part sur la route de Seattle>

Saloperie de yugo ! Saloperie de grippe ! Saloperie de convention de renoncement ! Saloperie de pluie !
Il pleuvait des cordes ! Et ça durait depuis une semaine, juste au moment où j’avais décidé d’arrêter d’aller chez la psychologue ! Pourquoi il fallait que ma grand-mère choppe la grippe ! Maintenant, j’avais été obligée de prendre la vieille yugo de mon père. Et ce tas de boue me lache au trois quart du voyage du retour ! Promis, dès que je rentre je t’envoie à la casse ! Désolée, papa.
Je n’avais qu’un vulgaire classeur de biologie pour me protéger. Bon ! Au lieu de ruminer, mieux valait avancer ! Et puis, malgré ce temps, quelqu’un passerait bien tôt où tard ! Comment avais-je pu oublier de recharger le crédit de mon portable ? D’habitude, j’envoyais l’argent une semaine avant l’expiration, là, j’avais attendu le dernier moment !
Et j’étais trempée, qua,d je serais rentrée à la maison, je prendrais un bon bain. Puis j’appellerais le réparateur et ensuite j’irais chez le pâtissier acheter des muffins à Elijah.

Emeric essuya le sang d’animal d’un revers de manche. Cette Amy lui aura profité même post-mortem. Le sang de Shnapy n’était pas aussi délicieux que celui de sa maîtresse mais ce n’était qu’un encas jusqu’à ce qu’Emeric trouve sa nouvelle victime. Il envoya le corps de l’animal dans la foret et entra dans le garage de la jeune femme. Le vampire eut un sourire mauvais et sortit ses cigarettes. Il s’affala dans le canapé de cuir d’Amy et tira sur sa cigarette.
Cela faisait un bout de temps qu’il ne s’était pas vraiment amusé, les courses-poursuites avec ses proies n’étaient que des distraction comme ça, de moins amusantes. Et regarder une proie le suplier pendant des jours serait vraiment amusant. Mieux que tous ce qu’il avait fait ces deux dernière années.
Sa prochaine victime serait un autostoppeur ou une autostoppeuse.

***
La porte du garage s’ouvrit et la voiture de la jeune décédée Freening. Müller fut surpris, qui pouvait donc prendre la voiture d’Amy alors qu’elle était morte quelques semaines plus tôt.
Emeric s’engagea sur la route principale de Forks et gagna bien vite la nationale. Il réfléchissait à ce qu’il voulait comme repas. Un gamin perdue ? Un bûcheron suant ?
Non, ce qu’il voulait était là devant lui sur le bas côté. Son repas se protégeait la tête d’un classeur.

Deux voitures étaient passées près de moi sans s’arrêter. Je n’arrivai paas à croire que certaines personnes aient tant peu de bonnes fois.
Heureusement, une autre voiture arrivait alors que je consultai mon portable pour savoir si mon crédit était arrivé. Mais apparemment non.
Mon sauveur s’arrêta sur la route et m’ouvrit la portière.

-Merci ! fis-je, reconnaissante en entrant dans la voiture.

Elle dégageait une odeur acre de parfum propre aux voitures de femmes, elle était remplie de sac à l’arrière. Et une paire de chaussure traînait devant le siège du passager. Quoi que ce soit, le conducteur n’était pas à sa place ici.
L’homme semblait avoir une vingtaine d’années. Il ne portait qu’une chemise bleue et j’eus froid pour lui. Il était très pâle presque blanc et puis cerné comme si on lui avais fracassé le nez, qu’il avait de parfait d’ailleurs. Ses prunelles étaient rouges, très très rouges comme … comme ceux qui nous avait attaqué il y a longtemps. Un vampire, un tueur d’humains.
Quand le verrou de la voiture se referma, je sus que j’avais des ennuis. La voiture accéléra en même temps que mon cœur.

Cette fille, le vampire la connaissait de vue, bien sûr, pour un vampire, il était simple de se souvenir de ce genre de détail evidemment. Elle traînait dans le café avec un policier en civil. Emeric avait tué pas mal d’animaux dans la région et la police s’était jetée sur ses traces et il l’avait vu le soir où le sang d’Amy avait fini le ventre de Sullivan. Mais le plus amusant c’est que le vampire trouvait que le jeune homme était doué en traque.
Et puis cette fille, Meaghan, était amie avec des vampires de Volterra, le jeu devenait tellement amusant ! Emeric sourit !

-Alors Meaghan, dit-il en souriant. Comment vont tes amis au longs crocs ?

Elle le regardait, à la fois horrifiée et curieuse. Ellle ressemblait à Amy, jeune et naïve, comme je les aime, pensa Emeric. Il prit la main résistante de Meaghan et la porta à son nez. Vraiment succulent ! Chocolat et cerise, et la pluie avait amplifiée son odeur. C’était facile, mais Emeric preferait faire durer le plaisir.
Et il avait exactement l’idée pour que cela se réalise ! Il ouvrit sa fenêtre et lacha la main de la jeune fille.

-Désolée Meaghan, il va falloir que je te laisse, à plus tard !


Et il tourna le volant violament en direction des bois et sauta de la voiture avant que la voiture ne touche le premier arbre

La voiture laissa plusieurs arbres deracinés dans son sillon. Meaghan, ma proie, semblait secouée, mais elle ne saignait pas, bonne nouvelle, je pourrais donc en profiter un peu plus.
Et mieux encore, elle était coincée sous la voiture ! Apparement son platre à la jambe l'empechait de se sortir complètement de la voiture. Emeric sourit sauvagement et s'accroupit à côté de la jeune fille.

-Oh, dommage, tu es coincée.

Un bruit se fit entendre de son blouson, une sonnerie de téléphone, non. Une alerte d'arrivée de crédit. Aha ! Elle avait été dans l'incapacité de se faire aider jusque là. Qui allait-elle appeler ? Le vampire la laissa sortir son téléphone de son blouson et composer un numéro préenregistrer. Elle hurla de l'aide à une voix masculine qui la salua joyeusement ave cune pointe d'anxieté dans la voix.
Emeric entendit des sirènes, à environ, trois kilomètre, et ca se rapprochait. Le vampire prit le téléphone de la main de sa proprietaire et le colla contre son oreille après avoir jeté un regard au nom de son destinataire.

-Désolé Elijah, Meaghan est dans l'incapacité de te répondre là.

Emeric éclata de rire et raccrocha, il envoya le téléphone sur la route et redressa les arbres pour éviter que l'on retrouve la trace de la voiture et de sa proie par la même occasion.

Tobbey conduisait tandis que j’avais toujours mon portable collé à l’oreille. Je mis le haut parleur, pour qu’il puisse entendre en même temps que moi le lieu où la voiture se trouvait. Soudain, une voix grave et mélodieuse se fit entendre. Le genre de voix magnifique et terrifiante qui à la fois provoque une attirance et une répulsion pour elle.

-Désolé Elijah, Meaghan est dans l'incapacité de te répondre là.

La personne éclata de rire puis la communication coupa. Tobbey me jeta un regard, mais je ne pouvais détacher les yeux de la route en face de moi… Je cru bon pourtant de lui déclarer :

-Meaghan… Je le connais… Par contre, lui, je ne crois pas le connaître… Et pourtant il connaît mon nom ?....

Tobbey ne répondit pas, mais il du percevoir mon affolement total car il accéléra. Pour ma part, je voyais le lien entre cette voix et les massacres des animaux de Forks récents se faire. Un vampire… Il devait être doué pour que ni Alice Cullen ni Damian Sawcha ne l’ai vu arriver à Forks… Mais pourquoi Meaghan ?... Pourquoi toujours elle… En tout cas, s’il ne l’avait pas tuée tout de suite, c’était qu’il n’était pas si assoiffé de ça, et voulait surtout s’amuser. Il ignorait peut-être l’existence des vampires végétariens de Forks. Rapidement, je composais le numéro de Jack sur mon portable et l’appelai.

-Jack ! A 5 kilomètres de Beaver, Meaghan est avec un nomade ! On est en route, fait ton possible !

Tobbey ne devait plus rien comprendre à ce que je disais, et il devait aussi se demander pourquoi je ne prévenais pas le commissariat pour demander du renfort… Cependant, il continuait d’accélérer. Nous étions normalement sur la voie, mais aucunes traces d’une quelconque voiture endommagée. Je scrutais les bois pour tenter d’y découvrir la voiture mais soudain, Tobbey s’arrêta.

Reportant mon regard sur la route, j’aperçus comme lui un objet devant nous. Je me précipitais hors de la voiture pour ramasser le portable.

-C’est bien le portable de Meaghan, lui lançais-je avant de regarder autour les bois qui nous entouraient de part et d’autre de la route.

La voiture fit plusieurs tonneaux avant de se stabiliser. Sans que je sache comment, j'étais sortie de la voiture. Ma jambe dans le platre avait été secouée et me faisait souffrir le martyr, sans parler de mes deux doigts fraichement deplatrés.
Et l'homme aux yeux rouges, le vampire, semblait toujours s'amuser autant.

-Oh, dommage, tu es coincée.

Mon téléphone sonna et m'informa de l'arrivée de mon crédit. J'appuyais sur la touche où était enrengistré le numéro d'Elijah.
Il décrocha au bout d'une sonnerie.

-Elijah ! J'ai besoin d'aide ! J'ai été attaquée, j'ai eu un accident de voiture près de Beaver, vient m'aider ! Un de ceux de mes cauchemars est le responsable ! Aide moi !

Mais le vampire me prit le portable et dit de sa voix envoutante :

-Désolé Elijah, Meaghan est dans l'incapacité de te répondre là.

J'entendis son rire pendant qu'il redressait les arbres et finalement grimpait dans le feuillage de celui qui surplombait la voiture.
Je savais qu'Elijah ne devait pas être bien loin.

-Au secour ! hurlai-je. Au secour !

Emeric n'avait pas vraiment prevu de retrouver le vampire et la traqueuse qui était également présent à Phoenix, c'était plutôt mal barré pour son repas.
Le vampire soupira quand Meaghan se mit à hurler -pourquoi tous les humains ne pouvaient pas se tenir tranquilles ?
Il s'approcha d'elle et s'accroupit en mettant sa main sur sa bouche.

-Dommage Meaghan, j'aurais bien aimé gouter ton sang ce soir mais ce sera donc remis à plus tard.

Sullivan soupira et se releva. Il souleva légèrement la voiture et remit Meghan dedans puis ecrasa les bords des portières contre la carasse de la voiture d'Amy afin que ceux qui lui viendrait en aide mettent du temps à la sortir de la.
Puis il grava dans le tronc d'un arbre à coté :

Code:

Ce n'est pas fini, surveiller là bien, c'est ma prochaine proie après Amy.

-Au revoir Meaghan, sussura Emeric près de la portière sur laquelle se defoulait la jeune humaine.