Arrivée à Forks

J'étais arrivé à Forks dans la nuit, rien de mieux pour passer inapercu dans une ville qui n'a pas de secret.
Puis ce matin, Violet voulait sortit, elle était vraiment toute excitée, et en faible que j'étais, je n'avais pas pu lui refuser.
Il était tôt, les habitants de cette petite bourgade n'étaient pas reveilles pour la plupart.
La petite marchait depuis moins d'un an, et elle aimait se dégourdir les jambes, toute seule ou accompagnée.
Je la tenais donc par la main et marchait sans but sans cesser de la surveiller.
Trois ans que je vivais avec elle, trois ans que je demenageasi à chaque fois que mes parents me retrouvaient.
J'avais eu une illumination en venant ici, jamais personne ne viendrais me chercher dans cette ville.
Un avantage de la péninsule d'Olympic.

Tandis que je marchais, j'appercu une voiture sur une allée dune maison à peine vendue, des nouveaux ? Je n'étais donc pas le seul. Et c'était toute une petite famille.
Un homme et une femme d'une quarantaines d'années observaient la maison tandis qu'un jeune homme préparait des boules de neige. Il la lanca et je la suivis des yeux pour voir disparaitre à temps une longue chevelure qui devait appartenir à la soeur de ce jeune homme.
C'est à ce moment que Violet marcha sur une plaque de verglas et tomba, je la tenais pas le poignet se qui fait qu'elle tomba à genoux sur une pierre mais ne topmba pas la tête la première dans l'eau.
Je la pris dans mes bras et m'assis sur un banc en la prenant sur mes genoux. Je tentais de la consoler en frottant ses genoux, mais à vrai dire, je fixai la maison, les deux jeunes gens devaient avoir mon âge, je pourrais sûrement me faire des amis et avvoir ainsi de l'aide pour Violet.

-Papa joue ! me dit Violet en me lancant de la neige qu'il y avait sur le banc.

Je n'eus pas le temps d'esquiver et me la pris en pleine tête, j'éclatai de rire en essuyant la neige qui coulait sur mon crâne et me levai en attrapant Violet avec moi. La petite était toute excitée et éclata de rire.
Je la lancai dans les airs et la rattrapai en la fesant tournoyer, elle semblait veritablement aux anges, ses joues étaient rougies par l'excitation. Je la logeai sur mes épaules et tournai sur moi même.

-Le cheval Papa !! Fais cheval !!

J'obeis à ses ordres imitant le trop en imitant le bruit. J'adorai lui faire plaisir.

-Hey Bébé ! On va voir les voisins ? lui demandai-je.

-Ils vont jouer avec moi ?

-Si tu es sage et que tu demandes gentiment.

-Oh oui alors !! Allez Papa !

J'éclatai de rire et me dirigeai vers la maison.

June déposa son sac sur un siège dans la salle de séjour et se tournait pour repérer quel tracnard prévoyais Jude à on attention.
Il semblait s'être fait une reserve de vingt boules de neige qui devait être aussi dûre que des pierres. Elle ne mourrait pas glacée mais lapidée !
Son regard deriva sur un jeune homme avec une petite fille dans les bras qui regardait vers la maison, la petite fille attraper de la neige et la lu jeter à la figure malicieusement, sûrement pour attirer son attention sur elle. Il éclata de rire et fit tournoyer la petite dans les airs.
June le regardait en souriant, elle ne savait pas trop si il s'agissait de sa petite soeur ou ... si c'était sa fille. Quoi qu'il en soit, il semblait très proche de cette petite fille.
Elle aurait bien aimé être ausi proche de quelqu'un elle aussi, même son stupide frère ne s'interessait à elle que pour la défier avec des paris aussi stupide les uns que les autres.
Sa mère s'adressait à June que pour faire la vaiselle ou sortir les poubelles, et pour finir, son père ne sinteressait pas plus à elle qu'un chien herrant dans son quartier.
Le jeune homme la fit monter sur ses épaules et imita un cheval.
June éclata de rire et sortit de la maison.
Ils parlèrent tous les deux et finalement, ils vinrent vers la maison.
Jude n'avait pas arrêté de l'asticoter sur le fait qu'il serait pret parier qu'elle ne se ferait aucun ami dans cette ville.
Elle était prête à relever le défi.

-Bonjour ! salua t-elle l'homme. Et bonjour toi ! fit-elle à la petite fille. Je m'appelle June et toi ?

Elle sourit à la petite fille, elle esperait qu'elle verrait en elle une amie et qu'elle lui ferait confiance. Elle était adorable, elle ressemblait à l'homme, j'en conclu donc qu'il s'agissait bel et bien de sa fille.
Les mêmes boucles brunes, les même sourires francs. Mais ses yeux étaient deux perles d'eau.
Les yeux de son père étaient aussi bien beau. Grand et fin, il était aussi, plutôt élancé, ce qui jouait en sa faveur.

La jeune femme qui aait disparu dans la maison à mon arrivée était sortie et souriait. Elle s'approcha de nous.

-Bonjour ! me fit-elle Et bonjour toi ! salua t-elle Violet. Je m'appelle June et toi ?

Elle nous dévisagea longtemps Violet et moi, mais ma fille qui se trémoussait sur mes épaules lui adressa la parole :

-Je suis Violet. C'est un joli prénom June.

-Mais Violet aussi est un beau prénom, bébé ! Et c'est ta mère qui l'a trouvé.

Je me retournai vers notre spectatrice. June.
Elle était plutôt jolie, et aussi pallôte, comme les gens qui passent leur temps enfermé chez eux. Elle était quand même vraiment mignone, il faut bien le dire.
Mais ce qui me frappa vraiment : elle avait un air de ressemblance avec Danièla. C'en était effrayant. Les mêmes cheveux ondulès tombant dans le dos, pratiquement la même couleur.
Le même visage en coeur mais à la différence de Danièla, des lèvres ressemblant à deux pétales de fleurs et elle avait de grands yeux verts aussi profond que l'émeraude.

-Oh ! m'exclamai-je. J'allais oublié ! Je me nomme Tobbey Hill et la naine là-haut, c'est ma fille Violet.

Cette dernière, mécontente de son surnom, abatit impitoyablement son petit poing sur ma tête.

-Je suis pas une naine ! Méchant Papa !

J'éclatai de rire